L’article souligne un écart entre les opinions des bioéthiciens et du public sur les questions éthiques. Il affirme que ce décalage est dû au manque de diversité au sein de la communauté bioéthique et à son éloignement croissant de la vie quotidienne. L’article suggère que pour remédier à ce problème, les bioéthiciens devraient engager un dialogue plus ouvert avec le public et collaborer avec les cliniciens, les patients et les citoyens dans leurs recherches. Cette approche, connue sous le nom d’«éthique vivante», met l’accent sur l’importance d’intégrer les expériences vécues dans la compréhension éthique et la résolution de problèmes.