Gabriel termine une maîtrise en philosophie dans laquelle il s’intéresse aux rôles qu’ont les désaccords entre scientifiques et experts sur la perception qu’à le public de l’expertise scientifique, ainsi qu’en quoi l’autorité épistémique de celle-ci en est affectée. Ses intérêts philosophiques tournent autour de l’épistémologie sociale et politique, des Science and Technology Studies (STS) et de la Sociology of Scientific Knowledge (SSK). Il s’intéresse en particulier à la relation entre la science et la société, ce qu’il prévoit approfondir au doctorat.
À l’unité, Gabriel est assistant de recherche et appui le développement d’une approche d’inspiration pragmatiste en bioéthique : l’éthique vivante. L’accent que celle-ci met sur la participation active et la délibération collective est pour lui d’un grand attrait étant donné la place grandissante qu’occupe l’expertise citoyenne dans le débat public.